cheirando a guardado

o que fui guardando na memória do gostar ...

setembro 28, 2010

Adamo





Mourir dans tes bras
Salvatore Adamo


Y en a qui meurent bien trop tard quand leur paradis est passé
Y en a qui meurent au hasard d'un coup de dé
Y en a qui meurent sans savoir qu'ils ne sont jamais nés vraiment
Y en a qui meurent sans espoir et plein d'argent

Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras

Y en a qui meurent dans les mémoires c'est bien plus que perdre la vie
Où ceux qui restent quittent le noir et vous oublient
Y en a qui meurent en marchant pour aller cacher leur vieillesse
Aux neiges du grand désert blanc, plaine de promesse

Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras

Y en a qui meurent parce que c'est beau de voir le soleil se coucher
Et d'attendre le jour nouveau de l'autre côté
Y en a qui meurent en dormant, en offrant un sourire aux anges
Y en a qui meurent encore enfant et gagnent au change

Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras

Y en a qui meurent la bouche pleine en libérant un dernier rôt
En se caressant la bedaine mais trop c'est trop
Quand d'autres vont le ventre vide berçant leur mort à bout de bras
En suivant la main qui les guide là où on ne les verra pas

Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras

Y en a qui meurent par erreur pour une poussière sur la balance
Quand la justice a ses rancoeurs ou ses absences
Y en a qui meurent dans les poubelles, les bannis de la société
Leur rêve au bout d'une ficelle, ballon crevé

Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras

Y en a qui meurent au printemps comme des éclairs, comme des flambeaux
Barrant la route pas pour instant aux chars d'assaut
Y en a qui meurent avec permis matriculé comme il se doit
Laissant un casque et un fusil sur une croix

Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras

Y en a qui meurent tous les soirs quand le spectacle est terminé
Quand ils retrouvent dans leur miroir leur vérité démaquillée
Y en a qui meurent en marguerite effeuillée d'une main distraite
Un peu, beaucoup, beaucoup trop vite et ça s'arrête

Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras
Prends ma main ne la lâches pas


F ... comme Femme
Salvatore Adamo
Elle est écluse un beau matin
Au jardin triste de mon coeur
Elle avait les yeux du destin
Ressemblait-elle à mon bonheur?
Oh, ressemblait-elle à mon âme?
Je l'ai cueillie, elle était femme
Femme avec un F rose, F comme fleur

Elle a changé mon univers
Ma vie en fut toute enchantée
La poésie chantait dans l'air
J'avais une maison de poupée
Et dans mon coeur brûlait ma flamme
Tout était beau, tout était femme
Femme avec un F magique, F comme fée

Elle m'enchaînait cent fois par jour
Au doux poteau de sa tendresse
Mes chaînes étaient tressées d'amour
J'étais martyre de ses caresses
J'étais heureux, étais-je infâme?
Mais je l'aimais, elle était femme

Un jour l'oiseau timide et frêle
Vint me parler de liberté
Elle lui arracha les ailes
L'oiseau mourut avec l'été
Et ce jour-là ce fut le drame
Et malgré tout elle était femme
Femme avec un F tout gris, fatalité

À l'heure de la vérité
Il y avait une femme et un enfant
Cet enfant que j'étais resté
Contre la vie, contre le temps
Je me suis blotti dans mon âme
Et j'ai compris qu'elle était femme
Mais femme avec un F ailé, foutre le camp
 

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